Automne 2023
Une bonne partie des réparations étant faites, reste encore un peu de couture pour protéger la grand voile des rayons ardents du soleil.
Christian arrange la housse qui protège la voile.
Nous commençons à être un peu plus relax, mais le temps n'est pas très beau, ça fait une semaine qu'il pleut.
Il pleut beaucoup.
Nous sommes toujours à la marina, nous avons commencer les grosses courses en prévision de notre retour en Europe ( logiquement départ prévu mi-mai 2024).
Petite pizza pour décompresser.
Elles étaient bonnes ces pizzas.
Il faut calculer la nourriture pour six mois. Nous allons partir du Guatemala fin décembre pour aller sur Cuba trois mois, puis on continuera sur les Bahamas , îles Exhumas pour attendre le top départ pour les Açores. Cuba est vide, on ne peut pas faire d'avitaillement et les Exhumas sont hors de prix . A moi de tout prévoir à l'avance.
Puisque nous sommes à peu près prêt pour partir, nous avons décidé de faire un dernier voyage d'une huitaine de jours à l'intérieur des terres guatémaltèques. Nous avons choisi d'aller au lac Atitlàn qui est un ancien volcan , ou l'eau monte lorsqu'il pleut, il n'a pas d’échappatoire pour évacuer l'eau ( Rivières, cascades ) alors il monte.
Plan du lac Atitlàn.
Nous nous renseignons pour partir en bus jusqu'à Antigua depuis le Rio Dulce, puis on fera au fur et à mesure du voyage.
20 novembre, nous voilà partis à 11h30 avec un mini bus d'une vingtaine de personnes , direction Antigua , ou nous arrivons le soir à 19h devant la porte de l’hôtel.
Autour de la place centrale d'Antigua.
Une église d'Antigua.
Cathédrale d'Antigua.
21 novembre , nous sommes dans le centre historique de cette ville que nous aimons beaucoup, nous allons aussi à la gare routière pour voir comment nous pouvons faire pour aller à Panajachel qui est la première petite ville à l'arrivée au lac Atitlàn.
Départ des chikens bus à Antigua.
Balade toute la journée dans la ville, repas le soir dans un restaurant tenu par un français de Grauilhet ( ancien rugbyman).
Repas au restaurant des français à Antigua.
Renseignements pris pour les bus auprès d'un chauffeur, il n'y na pas de bureau . Il nous dit que ce n'est plus direct comme dans le temps, mais que nous devons changerez de bus en cour de route. Pourquoi pas . Nous partons le lendemain 22/11 à 8h .
Notre premier chiken bus pour aller à Panajachel.
Poste de pilotage du chiken bus.
Le bus est super, bien entretenu et refait à neuf . Nous voilà partis, Au bout d'une demie heure de trajet, voilà qu'il faut changer de bus. Pas de gare routière à Chimaltenango , on doit traverser une grande avenue et faire signe au bus suivant en lui demandant s'il va à Panajachel. Oui, Oui, on monte, c'est toujours un chicken bus tout coloré .
Deuxième bus avec le chauffeur excité.
Nous voilà partis. Le chauffeur assez excité avec le jeune qui est avec lui , qui fait monter, descendre les gens et fait payer le trajet. Nous voilà sur l'autoroute, à fond, à droite ( très peu) surtout il roule sur la voix centrale et souvent sur la troisième voix sans se rabattre. Oh là-là, va t'on arriver entier , nous avons du mal à nous tenir, mais au bout deux heures , stop, il faut descendre à Los Encuentros pour prendre le bus suivant. Là aussi, c'est un school bus jaune , le chauffeur roule correctement car la route est sinueuse.
Troisième chiken bus.
Prochain arrêt Solola, on change à nouveau de bus, toujours très coloré, la aussi le chauffeur conduit normalement, il fait très attention, la route est pentue avec beaucoup de virages. 13H, nous sommes arrivés enfin à Panajachel . Allons directement à l'hôtel pour poser le gros sac à dos, grignoter aussi et se reposer un peu de ce trajet un peu hard , au total de cette aventure , soit 9O kilomètres. L'hôtel est un peu loin du lac, l'après midi, nous nous promenons afin de trouver des renseignements pour aller visiter les villages qui sont autour du lac et qui sont accessibles en lanchas.
Enfin nous sommes au lac Atitlàn dans la commune de Panajachel.
Nous marchons le long de la berge pour aller à Santa Catarina de Palopo et en demandant à des personnes , elles nous disent que nous ne pouvons plus passer le long du lac pour arriver à ce village.
Balade pour voir si l'on peut passer par le bord du lac .
Des clôtures de maison décorée.
Demi -tour , nous trouvons sur notre chemin un monsieur qui nous propose son service de lancha. Après discussion, nous partons le lendemain matin pour San Antonio de Palopo ou il nous laissera au débarcadère afin de visiter le village.
Notre piroguier Domingo pour aller à Sant Antonio de Palopo.
Volcans Tolimàn et à droite celui d'Atitlàn.
Approche de San Antonio de Palopo.
Ceux sont des villages à flan de montagne ou les personnes sont habillées avec des vêtements typiques d'une certaine couleur et chaque village a sa couleur . Nous restons dans ce petit village jusqu'à 11h, nous avons quasiment fait le tour après avoir grimpé dans quelques ruelles à flan de côteau.
Monsieur typique de San Antonio de Palopo.
Les ruelles de San Antonio sont des escaliers.
Une fois en haut, il redescendre.
Nous décidons de rejoindre l'autre village de Santa Catarina qui est à 8 kilomètres, nous le faisons à pieds.
On arrive à Santa Catarina de Palopo.
On quitte le village de San Antonio de Palopo.
Nous pensons faire de jolies photos le long de la route qui suit le rivage du lac, face aux trois volcans, et bien non, tout est grillagé pour que les gens ne jettent pas les ordures du côté du lac.
Village au bord du lac.
Cultures en espalier.
Depuis la route vue sur le volcan Atitlàn.
Quel dommage, c'était si beau en 2015, comme quoi , tout se dégrade et c'est un peu partout pareil.
Une drôle de fleur au bord de la route, genre liseron.
Après 1h1/2 de marche, nous arrivons à Santa Catarina de Palopo.
Premières maisons en arrivant à Santa Catarina de Palopo.
Ruelle qui descend vers le lac, avec artisanat de chaque côté.
Le piroguier nous avait dit que c'était le premier jour de la fête patronale qui commençait à 15h. Des décorations dans la rue principale et sur la place centrale ou était installé une estrade.
Monsieur qui attend le début de la fête patronale.
Lui est aussi sur la place ou se déroule la fête.
Nous savons que nous pouvons manger près du lac ou se trouve les manèges pour les enfants.
Manèges pour les enfants au bord du lac.
Barques de pêche typiques au lac.
Nous descendons la ruelle décorée, ou il y a aussi des dames qui font de l'artisanat.
Les dames sont toujours entrain de broder.
Repas pris, nous repartons dans les rues du village. Nous rencontrons un gros camions qui décharge du bois de chauffage, ceux sont les femmes qui viennent récupérer le bois, elles en font des tas au bord de la route, quelles vont monter chez elles par de minuscules ruelles à flan de montagne.
Village de Santa Catarina depuis le café panoramique.
Un camion de bois vient d'arriver.
Ceux sont les femmes qui s'occupent du bois.
Même Christian a aidé une jeune femme à mettre sa charge sur sa tête.
Christian aide .
C'est un village accroché à la montagne, tout le monde porte sur son dos, parpaings pour construire leur habitation. Vieux ou jeunes tout le monde participe. J'ai même demandé pourquoi des gamins d'une dizaine d'années portaient sur leurs dos des charges conséquentes et montaient les escaliers pour arriver en haut du village, on m'a dit : » tous les enfants n'ont pas école, ils doivent aider leurs parents à construire leur maison , et aussi ça évite que ces enfants fassent des bêtises .
Ruelle toujours aussi étroite dans ces villages.
Après être monté très haut dans le village , nous sommes descendus prudemment vers la place centrale ou se trouvait l’orchestre. Pas grand monde dansait, mais la quantité de baffles faisait que la musique était inaudible ,elle raisonnait dans tout notre corps. Nous sommes allés boire un café dans un restaurant panoramique loin du centre ville, on entendait le brouhaha jusque là.
Vue de Santa Catarina depuis un belvédère.
16h30, nous sommes sur le quai débarcadère de Santa Catarina, et notre piroguier ( Domingo) va nous ramener à Panajachel avant que le lac s'agite trop.
Notre piroguier Domingo, va nous ramener à Panajachel.
Ca commence à bouger un peu.
Avons passé une belle journée, le soir nous descendons sur le bord du lac afin de profiter du beau couché de soleil face aux 3 volcans ,( volcan San Pedro, volcan Tolimàn, volcan Atitlàn ).
Vue sur les 3 volcans.
Volcan de San Pedro.
Nuit tranquille, après deux jours passés à Panajachel, nous voilà dans une lancha communale à 9h du matin, afin de traverser une partie du lac, pour nous amener à San Pedro de la Laguna.
Départ des lanchas communales.
Avant d'arriver à notre destination, étant donné que c'est une lancha collective, nous desservons plusieurs petits villages qui ne sont accessibles que par le lac.
Arrivée sur le quai de San Pedro de la Laguna.
11heures, nous sommes à notre hôtel à San Pedro pour y laisser notre sac à dos.
Notre hôtel à San Pedro.
Le temps est splendide, nous en profitons pour aller en tuk-tuk sur un site panoramique qui surplombe le lac.
Site panoramique qui surplombe San Pedro de la Lagune.
Un coup Christian.
Un coup moi.
Le retour au village se fait à pieds ,ou nous rencontrons sur notre chemin des jeunes touristes français.
C'est une contrée ou l'on cultive beaucoup de café.
Les vieux monsieurs portent des vêtements typiques.
En tout début d'après midi, nous prenons un autre tuk-tuk pour aller à San Juan de la Laguna.
Rue de San Juan de la Laguna.
Village ou il y a beaucoup de café, les façades des maisons sont décorées en conséquence.
Débarcadère de San Juan de la Laguna.
Nimporte ou, il y a de la décoration, c'est très reposant.
Village très pittoresque ou l'artisanat est très développé, ainsi que de nombreux artistes peintres qui décorent les murs des maisons, mais je trouve que depuis 2015 il y a de moins en moins des tisseuses artisanales , des peintres, des dames qui teignaient la fibre pour créer les vêtements.
Les artistes peintres se régalent à décorer les maisons.
Encore une scène de café sur les murs des maisons.
Dommage, la tradition se perd un peu, c'est surtout devenu touristique.
Tous les jours il y a des marchés dans les rues.
L'heure du repas approche, nous mangeons dans la rue , puis nous déambulons les rues pentues du village dont les mûrs des maisons sont peints, toutes les ruelles sont décorées.
Grillade dans la rue que Christian a apprécié.
Nous avons bien mangé.
Même les potiches sont peintes.
C'est un plaisir d'apprécier la vie de ce village. Comme dans tous ces villages autour du lac, les personnages sont vêtus différemment en fonction de leur lieu de résidence.
Magasins de vêtements typiques.
Les villages sont petits, alors, nous allons continuer vers Santiago d'Atitlàn. Nous prenons une nouvelle lancha pour arriver au dernier village ou nous avons réservé l'hôtel .
Tout est dit.
Un côté du débarcadère de Santiago de la Laguna.
Il se trouve près du débarcadère dans une petite ruelle, il faut l'y savoir , c'est un bijou, avec un personnel très sympathique.
Notre hôtel "Joséfa" à Santiago.
Il est tout près du débarcadère.
Jardin très bien entretenu avec beaucoup de plantes.
Le premier jour,soit le 25 novembre, nous nous promenons dans les rues de Santiago d'Atitlan, je suis à la chasse, je veux faire des photos de vêtements typiques qui sont utilisés au bord du lac Atitlan, mais ils ne veulent qu'on les prennent en photo.
Coiffe typique de Santigo Atitlàn s'appelle une tocoya, ruban de 4 mètres de long.
Des haricots secs de toutes les couleurs.
Tenue des hommes de Santiago.
Chasubles que portent les femmes : un Huipil brodé à la main.
Nous voilà partis dans les rues grimpantes pour arriver dans la zone ou le marché important est deux fois par semaine. Toutes les petites rues qui rejoignent la place centrale et le marché couvert, sont piétonnes avec de petits stands de chaque côté des rues.
Marché extérieur de Santiago autour de la place centrale.
A l'intérieur du marché couvert, on trouve des stands de boucherie, vente de volailles, des fruits et légumes aussi.
Marché couvert de Santiago.
Il y a de tous dans le marché couvert.
Nous mangeons dans un petit comédor, une cuisine typique et l'après midi nous continuons notre tour. Nous nous renseignons également pour prendre un bus, pour aller au dernier village autour du lac qui est San Lucas Tolimàn prévu le lendemain. Ensuite nous avons continué à déambuler, regardant des échoppes de vêtements , les tissages typiques, et aussi les magasins à touristes.
Autre sorte de pantalon brodé pour les hommes.
Une petite fille avec une tocoyal , tenue typique de Santiago.
3 monsieurs qui prennent le soleil sur la place du village.
Un autre vêtement typique pour homme ( jupe de laine).
Fin de soirée arrive, nous redescendons vers le lac pour le couché de soleil et voir aussi le dernier départ des lanchas qui retournent à Panajachel.
Ce monsieur revient au village bien chargé.
Seul soir ou le ciel est couvert.
Une vieille dame vêtue typiquement.
26 novembre, nous déjeunons de bonne heure pour prendre le bus et aller à San Lucas. Premier bus qui passe, on lui fait signe et demandons sa destination, ce n'est pas celui là, le chauffeur nous dit, mettez vous à l'angle de la rue et prenez un pick-up. Nous voilà à l'endroit dit, prenons la première voiture qui passe.
Notre pick up pour aller à San Lucas de Tolimàn.
Conducteur très sympathique, nous dit de monter devant avec lui, et nous voilà partis. Route tortueuse , entourée de plantation de café , et d'avocatiers pour contourner le volcan Tolimàn , au bout de ¾ heure, nous voilà au village.
Au bord de la route du café encore vert.
Le café est ramassé à la main dèsque les grains sont rouges.
Nous sommes déçus, c'est un village quelconque , le marché toujours d'actualité , mais village pas du tout touristique.
Dans les rues du village.
Un régal de déambuler dans les rues à travers les échopes.
Ici, les marchés : c'est la campagne.
Nous passons tout de même dans le centre du marché, puis descendons au bord du lac, ou il y a de nombreuses manifestations religieuses.
Une jeune dame fait sa lessive dans le lac.
Bord du lac ou il y avait des cérémonies religieuses.
Jupe de laine pour les hommes.
Tenue du village de San Lucas de la Lagune.
11 heure, nous prenons un tuk-tuk pour aller un peu plus loin, voir un village de pêcheurs.
Une autre dame en tenue.
Là, c'est encore pire, il n'y a rien , nous sommes descendus au bord du lac pour voir s'il y avait quelques choses à voir, encore rien.
Recherche du petit port annoncé.
Deux barques seulement , pas de port.
Il fait chaud , nous remontons la côte qui revient au soit disant village.
Champs de caféiers.
Nous reprenons un tuk-tuk qui nous permet de remonter vers la route principale pour revenir à Santiago Atitlàn. Au bout de ½ heure d'attente ,un pick-up passe, nous voilà montés sur le plateau arrière qui est déjà bien plein. On s'accroche, nous avons de l'air, nous voyons le paysage ou poussent beaucoup de caféiers et avocatiers.
Notre pick up du retour à Santiago.
Toujours du café.
En cour de route, encore quelques arrêts pour prendre des paysans. Arrêt ,au bord de la route un monsieur qui a deux sacs d'avocats, un bidon et 3 troncs d'arbre long, mais petit de diamètre. Le chauffeur est descendu, a ouvert ce qui referme le plateau arrière et il a mis tout le chargement, nous continuons la route jusqu'à Santiago.
Sacs d'avocats.
Il faut prendre les avocats, plus le bois et le bonhomme.
Ca rentre dans le pick up , on va se cerrer.
L’aventure c'est l'aventure, nous sommes quand même arrivés à bon port.
En bas des caféiers , les grands arbres des avocatiers.
Toujours de belles peintures sur les murs des maisons.
Nous remontons à l'hôtel pour prendre une bonne douche, puis nous terminons la journée vers le débarcadère ou se trouve de nombreuses boutiques ainsi que des peintres qui travaillent dans leur atelier .
Débarcadère de San Antonio de la Laguna.
Dames typiques à Santiago.
Un rassemblement de diverses tenues.
Photo volée à un peintre.
Nous avions décidé de quitter Santiago le 27 novembre en fin de journée et prendre la dernière lancha, mais après notre petit déjeuné, le vent c'est levé rapidement en forcissant. Que faisons nous ?, le retour sur Panajachel est vent de face, admettons qu'ils suppriment la dernière navette, nous décidons ,de prendre la navette de 10 heures .
Pantalon brodé d'oiseaux pour cet homme.
Très peu de dames portent le tocoyal.
Petit port de Santiago de la Laguna , avant notre départ.
Nous sommes dans la lancha, on attend l'heure du départ pour Panajachel.
Nous voilà dans la lancha qui doit partir dans un petit moment. Tout compte fait, le piroguier a lâché les amarres du ponton à 11H30, le bateau saute de vague en vague, ça tape fort pendant tout le trajet, heureux de descendre pour retrouver l'hôtel que l'on avait réservé à Panajachel.
Vent de face, ça tape beaucoup.
Ouf, nous sommes de retour à Panajachel.
Nous laissons nos affaires à l'hôtel et allons à un restaurant face au lac, pour profiter des derniers moments de notre voyage.
Petit resto sympa près du débarcadère de Panajachel.
Une autre tenue pour les hommes.
Maman et sa fille vêtues à l'identique.
Nous passons à l'agence ou nous avons réservé le micro-bus pour revenir à Guatemala City, pour savoir à quelle heure il passera nous prendre le lendemain 28 novembre. Derniers couchés de soleil sur le lac face aux trois volcans, puis restaurant , la soirée se termine.
Volcan Atitlàn et Sans Pedro.
Volcan Atitlàn et derrière Tolimàn.
Sur le côté gauche du lac.
Volcan Atitlàn et Tolimàn.
28 novembre , petit déjeuné pris, nous attendons le bus devant l'hôtel prévu à 9heure, après un appel téléphonique pour savoir s'il ne nous avait pas oublié, il arrive tranquillement à 10heures. Le chauffeur prend une route que nous ne connaissons pas, paysages splendides au milieu des cultures maraîchères qui alimentent le pays.
Paysage de retour vers Antigua.
Il fait encore beau et la vue sur le côté que nous ne connaissions pas.
Des champs de maïs, des haricots verts accrochés sur les pieds de maïs qui servent de tueurs.
On descend vers Antigua, adieu le soleil.
L'agence de voyage nous avait dit que depuis Panajachel à Guatemala City c'était direct, et bien non, nous avons dû descendre du bus à Antigua et attendre un autre pour terminer notre retour. Après insistance auprès du chauffeur, il nous a déposé devant l'hôtel que nous réservons habituellement. Nuit tranquille au milieu des décorations de Noël que le propriétaire installe chaque année. 29 novembre , petit déjeuné pris à l'hôtel, appelons un taxi Uber qui nous amène au bus Litegua pour rejoindre Fronteras ou Goyave nous attend. Durant cette semaine, nous avons eu que du beau temps, tandis qu'au Rio Dulce la pluie était d'actualité tous les jours.
Depuis que nous sommes revenus sur Goyave à la marina, nous terminons les dernières grosses courses , le bateau peut assumer les 6 mois mois prévus avant notre grand départ.
Animaux autour de la marina , un iguane dans les arbres.
Une grande aigrette qui chasse.
Toute la partie hors de l'eau du bateau a été nettoyé au karcher, il ne reste qu' a nous déplacer chez nos amis français qui nous ont proposé leur ponton, afin que leur gardien face la partie sous marine qui n'est autre que de la vase qui se dépose sur les coques.
Mise en place du genacker.
On fait sécher le genacker.
Genacker est ok pour le départ.
La marina ou nous étions.
Après trois jour au ponton, nous partons au mouillage pour faire des réglages.
A fond, ils regardent le couché de soleil.
Belles couleurs avec le couché de soleil.
Quand il fait beau on apprécie les soirée sur le trampoline.
Un vol de pélicans au dessus de nos têtes.
Il faut mettre le génois sur son étai, monter la voile pour remettre en place tous les cordages nécessaires pour naviguer. La veille de la mise en ligne de ce paragraphe , nous sommes partis à Cayo Quemado au bout du lac Golfette pour passer Noël tranquille avec un bateau ami.
Dernier passage sous le pont .
Voilà, dernier voyage sur les terres guatémaltèques avant de quitter le pays, direction Cuba, puis les Bahamas avant de faire le grand saut vers l'Europe courant mai 2024.
Bonnes fêtes de fin d'année . Bises , Maryse & Christian.
Bonne lecture à tous et toutes .